CATALGINE ENFANTS ET NOURRISSONS 0,10 g, poudre pour solution buvable, boîte de 20 sachets-dose
Retiré du marché le : 19/03/2008
Dernière révision : 29/10/1997
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : AEROCID
Traitement symptomatique des douleurs d'intensité légère à modérée et/ou d'états fébriles.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :
- allergie avérée aux salicylés et aux substances d'activité proche : notamment anti-inflammatoires non stéroïdiens,
- ulcère gastroduodénal en évolution,
- toute maladie hémorragique constitutionnelle ou acquise,
- risque hémorragique.
- L'aspirine est contre-indiquée avec le méthotrexate, si celui-ci est utilisé à des doses supérieures à 15 mg/semaine.
La survenue de crise d'asthme, chez certains sujets, peut être liée à une allergie aux anti-inflammatoires non stéroïdiens ou à l'aspirine. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué.
DECONSEILLE :
- L'aspirine ne doit généralement pas être utilisée en cas d'association avec :
. les anticoagulants oraux,
. les autres AINS,
. l'héparine,
. la ticlopidine,
. les uricosuriques (benzbromarone, probénécide) (voir interactions).
- L'aspirine est déconseillée en cas de goutte.
Ce médicament est contre-indiqué dans les situations suivantes :
- allergie avérée aux salicylés et aux substances d'activité proche : notamment anti-inflammatoires non stéroïdiens,
- ulcère gastroduodénal en évolution,
- toute maladie hémorragique constitutionnelle ou acquise,
- risque hémorragique.
- L'aspirine est contre-indiquée avec le méthotrexate, si celui-ci est utilisé à des doses supérieures à 15 mg/semaine.
La survenue de crise d'asthme, chez certains sujets, peut être liée à une allergie aux anti-inflammatoires non stéroïdiens ou à l'aspirine. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué.
DECONSEILLE :
- L'aspirine ne doit généralement pas être utilisée en cas d'association avec :
. les anticoagulants oraux,
. les autres AINS,
. l'héparine,
. la ticlopidine,
. les uricosuriques (benzbromarone, probénécide) (voir interactions).
- L'aspirine est déconseillée en cas de goutte.
PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Les sachets à 100 mg sont réservés à l'enfant de moins de 12 kg (soit environ 2 ans). Il existe des dosages plus adaptés pour l'enfant de plus de 12 kg et pour l'adulte.
- L'aspirine est déconseillée en cas de goutte.
- L'aspirine doit être utilisée avec précaution en cas :
. d'antécédents d'ulcère gastrique ou duodénal, ou d'hémorragie digestive,
. d'insuffisance rénale,
. d'asthme : la survenue de crise d'asthme, chez certains sujets, peut être liée à une allergie aux anti-inflammatoires non stéroïdiens ou à l'aspirine. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué.
- Compte tenu de l'effet anti-agrégant plaquettaire de l'aspirine, apparaissant dès les très faibles doses et persistant plusieurs jours, il convient de prévenir le patient des risques hémorragiques pouvant survenir en cas de geste chirurgical même mineur (ex : extraction dentaire).
- Des syndromes de Reye ayant été observés chez des enfants atteints de virose (en particulier varicelle et épisodes d'allure grippale) et recevant de l'aspirine, il est prudent d'éviter l'administration dans ce situations.
- En cas de régime désodé, tenir compte, dans la ration journalière de la teneur en sodium de chaque sachet : 26 mg.
- Les sachets à 100 mg sont réservés à l'enfant de moins de 12 kg (soit environ 2 ans). Il existe des dosages plus adaptés pour l'enfant de plus de 12 kg et pour l'adulte.
- L'aspirine est déconseillée en cas de goutte.
- L'aspirine doit être utilisée avec précaution en cas :
. d'antécédents d'ulcère gastrique ou duodénal, ou d'hémorragie digestive,
. d'insuffisance rénale,
. d'asthme : la survenue de crise d'asthme, chez certains sujets, peut être liée à une allergie aux anti-inflammatoires non stéroïdiens ou à l'aspirine. Dans ce cas, ce médicament est contre-indiqué.
- Compte tenu de l'effet anti-agrégant plaquettaire de l'aspirine, apparaissant dès les très faibles doses et persistant plusieurs jours, il convient de prévenir le patient des risques hémorragiques pouvant survenir en cas de geste chirurgical même mineur (ex : extraction dentaire).
- Des syndromes de Reye ayant été observés chez des enfants atteints de virose (en particulier varicelle et épisodes d'allure grippale) et recevant de l'aspirine, il est prudent d'éviter l'administration dans ce situations.
- En cas de régime désodé, tenir compte, dans la ration journalière de la teneur en sodium de chaque sachet : 26 mg.
- Effets sur le système nerveux central :
. bourdonnements d'oreille,
. sensation de baisse de l'acuité auditive,
. céphalées qui sont habituellement la marque d'un surdosage.
- Effets gastro-intestinaux :
. ulcères gastriques,
. hémorragies digestives patentes (hématémèse, melaena...) ou occultes, responsables d'une anémie ferriprive. Ces hémorragies sont d'autant plus fréquentes que la posologie est plus élevée.
- Effets hématologiques :
syndromes hémorragiques (épistaxis, gingivorragies, purpura,...) avec augmentation du temps de saignement. Cette action persiste de 4 à 8 jours après arrêt de l'aspirine. Elle peut créer un risque hémorragique, en cas d'intervention chirurgicale.
- Réactions d'hypersensibilité :
accidents de sensibilisation : oedème de Quincke, urticaire, asthme, accidents anaphylactiques.
- Autres : douleurs abdominales.
. bourdonnements d'oreille,
. sensation de baisse de l'acuité auditive,
. céphalées qui sont habituellement la marque d'un surdosage.
- Effets gastro-intestinaux :
. ulcères gastriques,
. hémorragies digestives patentes (hématémèse, melaena...) ou occultes, responsables d'une anémie ferriprive. Ces hémorragies sont d'autant plus fréquentes que la posologie est plus élevée.
- Effets hématologiques :
syndromes hémorragiques (épistaxis, gingivorragies, purpura,...) avec augmentation du temps de saignement. Cette action persiste de 4 à 8 jours après arrêt de l'aspirine. Elle peut créer un risque hémorragique, en cas d'intervention chirurgicale.
- Réactions d'hypersensibilité :
accidents de sensibilisation : oedème de Quincke, urticaire, asthme, accidents anaphylactiques.
- Autres : douleurs abdominales.
Sans objet.
ASSOCIATIONS CONTRE-INDIQUEES :
- Méthotrexate utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux protéines plasmatiques par les salicylés).
- Salicylés à fortes doses avec les anticoagulants oraux : augmentation du risque hémorragique par inhibition de la fonction plaquettaire, agression de la muqueuse gastroduodénale et déplacement des anticoagulants oraux de leurs liaisons aux protéines plasmatiques.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Héparines par voie parentérale : augmentation du risque hémorragique par inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastro-duodénale par les salicylés.
Utiliser d'autres substances que les salicylés pour un effet antalgique et antipyrétique (paracétamol notamment).
- Salicylés à fortes doses avec les anticoagulants oraux : augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif par synergie additive.
- Salicylés à faibles doses avec les anticoagulants oraux : augmentation du risque hémorragique par inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les salicylés.
Nécessité d'un contrôle en particulier du temps de saignement.
- Uricosuriques tels que benzbromarone, probénécide : diminution de l'effet uricosurique par compétition de l'élimination de l'acide urique au niveau des tubules rénaux.
Utiliser un autre analgésique.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Antidiabétiques tels que insuline, chlorpropamide : majoration de l'effet hypoglycémiant par de fortes doses d'acide acétylsalicylique par action hypoglycémiante de l'acide acétylsalicylique et déplacement du sulfamide de sa liaison aux protéines plasmatiques.
Prévenir le patient et renforcer l'autosurveillance glycémique.
- Glucocorticoïdes par voie générale : diminution de la salicylémie pendant le traitement par les corticoïdes et risque de surdosage salicylé après leur arrêt par augmentation de l'élimination des salicylés par les corticoïdes.
Adapter les doses de salicylés pendant l'association et après l'arrêt du traitement par les glucocorticoïdes.
- Interféron alpha : risque d'inhibition de son action.
Utiliser de préférence un analgésique antipyrétique non salicylé.
- Méthotrexate utilisé à faibles doses, inférieures à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux protéines plasmatiques par les salicylés).
Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association.
Surveillance accrue en cas d'altération, même légère, de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
- Pentoxifylline : augmentation du risque hémorragique.
Renforcer la surveillance clinique et contrôler plus fréquemment le temps de saignement.
- Salicylés à fortes doses avec les diurétiques : insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté par diminution de la filtration glomérulaire secondaire à une diminution de la synthèse des prostaglandines rénales.
Hydrater le malade et surveiller la fonction rénale en début de traitement.
ASSOCIATION A PRENDRE EN COMPTE :
- Thrombolytiques : augmentation du risque hémorragique.
- Topiques gastro-intestinaux tels que sels, oxydes et hydroxydes de magnésium, aluminium et calcium : augmentation de l'excrétion rénale des salicylés par alcalinisation des urines.
- Méthotrexate utilisé à des doses supérieures ou égales à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux protéines plasmatiques par les salicylés).
- Salicylés à fortes doses avec les anticoagulants oraux : augmentation du risque hémorragique par inhibition de la fonction plaquettaire, agression de la muqueuse gastroduodénale et déplacement des anticoagulants oraux de leurs liaisons aux protéines plasmatiques.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Héparines par voie parentérale : augmentation du risque hémorragique par inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastro-duodénale par les salicylés.
Utiliser d'autres substances que les salicylés pour un effet antalgique et antipyrétique (paracétamol notamment).
- Salicylés à fortes doses avec les anticoagulants oraux : augmentation du risque ulcérogène et hémorragique digestif par synergie additive.
- Salicylés à faibles doses avec les anticoagulants oraux : augmentation du risque hémorragique par inhibition de la fonction plaquettaire et agression de la muqueuse gastroduodénale par les salicylés.
Nécessité d'un contrôle en particulier du temps de saignement.
- Uricosuriques tels que benzbromarone, probénécide : diminution de l'effet uricosurique par compétition de l'élimination de l'acide urique au niveau des tubules rénaux.
Utiliser un autre analgésique.
ASSOCIATIONS FAISANT L'OBJET DE PRECAUTIONS D'EMPLOI :
- Antidiabétiques tels que insuline, chlorpropamide : majoration de l'effet hypoglycémiant par de fortes doses d'acide acétylsalicylique par action hypoglycémiante de l'acide acétylsalicylique et déplacement du sulfamide de sa liaison aux protéines plasmatiques.
Prévenir le patient et renforcer l'autosurveillance glycémique.
- Glucocorticoïdes par voie générale : diminution de la salicylémie pendant le traitement par les corticoïdes et risque de surdosage salicylé après leur arrêt par augmentation de l'élimination des salicylés par les corticoïdes.
Adapter les doses de salicylés pendant l'association et après l'arrêt du traitement par les glucocorticoïdes.
- Interféron alpha : risque d'inhibition de son action.
Utiliser de préférence un analgésique antipyrétique non salicylé.
- Méthotrexate utilisé à faibles doses, inférieures à 15 mg/semaine : augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires en général et déplacement du méthotrexate de sa liaison aux protéines plasmatiques par les salicylés).
Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association.
Surveillance accrue en cas d'altération, même légère, de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé.
- Pentoxifylline : augmentation du risque hémorragique.
Renforcer la surveillance clinique et contrôler plus fréquemment le temps de saignement.
- Salicylés à fortes doses avec les diurétiques : insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté par diminution de la filtration glomérulaire secondaire à une diminution de la synthèse des prostaglandines rénales.
Hydrater le malade et surveiller la fonction rénale en début de traitement.
ASSOCIATION A PRENDRE EN COMPTE :
- Thrombolytiques : augmentation du risque hémorragique.
- Topiques gastro-intestinaux tels que sels, oxydes et hydroxydes de magnésium, aluminium et calcium : augmentation de l'excrétion rénale des salicylés par alcalinisation des urines.
RESERVE A L'ENFANT DE MOINS DE 12 KG (soit environ 2 ans).
Voie orale.
- Boire immédiatement après dissolution complète du contenu du sachet dans un verre d'eau sucrée ou non, de lait ou de jus de fruit.
- Les prises systématiques permettent d'éviter les oscillations de fièvre ou de douleur. Elles doivent être espacées d'au moins 4 heures.
- La posologie quotidienne maximale chez l'enfant est de 50 mg/kg.
- A titre indicatif :
. jusqu'à 10 kg (soit environ 1 an) : 1 sachet à 100 mg à renouveler si nécessaire au bout de 4 heures, sans dépasser 5 sachets par jour.
. entre 10 et 12 kg (soit environ entre 1 et 2 ans) : 1 sachet à 100 mg, à renouveler si nécessaire au bout de 4 heures, sans dépasser 6 sachets par jour.
- Les âges approximatifs en fonction du poids sont donnés à titre indicatif.
Voie orale.
- Boire immédiatement après dissolution complète du contenu du sachet dans un verre d'eau sucrée ou non, de lait ou de jus de fruit.
- Les prises systématiques permettent d'éviter les oscillations de fièvre ou de douleur. Elles doivent être espacées d'au moins 4 heures.
- La posologie quotidienne maximale chez l'enfant est de 50 mg/kg.
- A titre indicatif :
. jusqu'à 10 kg (soit environ 1 an) : 1 sachet à 100 mg à renouveler si nécessaire au bout de 4 heures, sans dépasser 5 sachets par jour.
. entre 10 et 12 kg (soit environ entre 1 et 2 ans) : 1 sachet à 100 mg, à renouveler si nécessaire au bout de 4 heures, sans dépasser 6 sachets par jour.
- Les âges approximatifs en fonction du poids sont donnés à titre indicatif.
Durée de conservation :
2 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température inférieure à 25°C et à l'abri de l'humidité.
2 ans.
Précautions particulières de conservation :
A conserver à une température inférieure à 25°C et à l'abri de l'humidité.
Sans objet.
L'intoxication est à craindre chez les sujets âgés et surtout chez les jeunes enfants (surdosage thérapeutique ou intoxication accidentelle fréquente) où elle peut être mortelle.
- Symptômes cliniques :
. Intoxication modérée : bourdonnements d'oreille, sensation de baisse de l'acuité auditive, céphalées, vertiges, nausées sont la marque d'un surdosage et peuvent être contrôlés par la réduction de la posologie.
. Intoxication sévère : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma, collapsus cardiovasculaire, insuffisance respiratoire, hypoglycémie importante.
- Traitement :
. Transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé,
. évacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique,
. contrôle de l'équilibre acidobasique,
. diurèse alcaline forcée, possibilité d'hémodialyse ou de dialyse péritonéale, si nécessaire,
. traitement symptomatique.
- Symptômes cliniques :
. Intoxication modérée : bourdonnements d'oreille, sensation de baisse de l'acuité auditive, céphalées, vertiges, nausées sont la marque d'un surdosage et peuvent être contrôlés par la réduction de la posologie.
. Intoxication sévère : fièvre, hyperventilation, cétose, alcalose respiratoire, acidose métabolique, coma, collapsus cardiovasculaire, insuffisance respiratoire, hypoglycémie importante.
- Traitement :
. Transfert immédiat en milieu hospitalier spécialisé,
. évacuation rapide du produit ingéré par lavage gastrique,
. contrôle de l'équilibre acidobasique,
. diurèse alcaline forcée, possibilité d'hémodialyse ou de dialyse péritonéale, si nécessaire,
. traitement symptomatique.
ANTALGIQUE périphérique.
ANTIPYRETIQUE.
(N : système nerveux central).
ANTIPYRETIQUE.
(N : système nerveux central).
L'acide acétylsalicylique est hydrolysé dans le plasma en métabolite actif, l'acide salicylique. Celui-ci est en grande partie lié aux protéines du plasma. Sa concentration sanguine maximum est atteinte en 2 ou 4 heures. L'élimination urinaire augmente le pH urinaire. La demi-vie de l'acide salicylique est de 3 à 9 heures et augmente avec la dose administrée.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Absence d'information dans l'AMM.
Sachet-dose (papier/aluminium/polyéthylène) de 0,16 g de poudre pour solution buvable ; boîte de 20.